🟠 Grégory Roose

PORTIMÃO (microfiction) Portimao, Algavre, Portugal. La plage s'étire entre deux caps, l’un tourné vers l’Afrique, l’autre vers les Amériques. A nu, le site est une invitation au voyage et à l’oubli de soi, seul face la méditerranée mourant lentement dans l’Atlantique. Mais les mois d’été vomissent invariablement leurs flots de touristes dans lequel le paysage s’efface et s’effondre pour laisser sa place à un autre, semblable dans sa forme, comme dans l’ambiance qui y règne, à  tous les sites touristiques de la planète lorsqu’ils sont assaillis par la masse. Cette interminable crique n’est belle que nue et ma seule présence participe déjà à son enlaidissement. J’en ai conscience. Alors, j’essaie de m’y faire discret. Le bruit de mes pas s’efface dans celui des vagues. Le vent couvre ma respiration, excitée par mon besoin de distinction. Mes doigts s’engouffrent dans le sable tiède et mon regard s’abandonne vers le soleil couchant. Je suis seul avec elle, car je n’entends plus ces milliers de voix désacordées qui bruissent à l’unisson, ni celles des enfants qui voient l’ouvrage de leur après-midi détruits par une vaguelette scélérate ou celles de leur mère qui les appellent pour les consoler.   La nuit tombe, lentement. Tous abandonnent la Praia de Rocha, répondant a l’appel des restaurants et des bars ouverts jusque tard dans la nuit. Je me joindrais bientôt à eux, car après tout, même si je tente de me convaincre du contraire, je ne plane pas, en âme supérieure, au dessus de cette masse que j’honni. J’emprunte les mêmes avions, je fréquente les mêmes agences de location de voiture, dors dans les mêmes hôtels, fait la queue aux mêmes buffets à volonté et photographie pareillement le sites touristiques qu’elle consomme, participant au viol collectif de leur beauté immaculée pendant des siècles. Je suis la masse et rien ne me distingue d’elle, à part, peut-être, ma conscience d’y n’être rien.      

Il reste peut-être 40 millions de Français de souche (dont beaucoup veulent leur propre disparition) et quelques millions de Français assimilés. C'est notre survie en tant que peuple qui va se jouer dimanche. Seul le RN représente une chance de sauver la France face à ses bourreaux.

Le défi de notre post-démocratie est de fabriquer une minorité gouvernante en écrasant, par tous les moyens républicains, la majorité réfractaire.

Ceux qui appellent à faire barrage au RN sont souvent ceux que les électeurs de tous bords ne peuvent plus supporter.

Le RN récolte les graines semmées par Zemmour, mais c'est notre pays qui en sort gagnant. Sympathisant R! de la première heure, je voterai évidemment pour le candidat RN au second tour. Pour que vive la France !

Discours d’Eric Zemmour Le 30 juin 2024 Mes chers compatriotes, Toute ma vie, je me suis battu pour la survie de la France et pour que nos idées avancent. Pas pour faire personnellement le meilleur score le soir des législatives du 30 juin 2024. Alors, je vous le dis, avec l’amour de notre pays que vous me connaissez : ce beau score de la droite est aussi une joie pour nous. Réjouissonsnous du courage des Français, du chemin parcouru et de la part que nous y avons prise. Je suis heureux de ce réveil français. J’espère que vous l’êtes aussi ! Chez Reconquête, on ne perd jamais : soit on gagne, soit on fait avancer nos idées. Et Dieu sait l’énergie que nous avons déployée depuis deux ans, avec nos candidats, nos cadres et nos militants, au service des combats patriotes. Je ne vous remercierai jamais assez pour cela ! Nous avons placé le danger de l’islamisation au centre du débat public. Nous n’avons cessé d’honorer, parfois seuls contre tous, la mémoire des victimes de Francocide. Avec un puissant réseau de Parents vigilants, nous avons dévoilé le Grand endoctrinement de nos enfants à l’école. Nous avons martelé que la lutte contre l’immigration et le Grand remplacement était une question de vie ou de mort. Nous seuls avons affirmé que le pouvoir d’achat n’est pas l’argent que l’État vous donne mais celui qu’il ne vous prend pas. En ayant le courage de la vérité, en ayant accepté d’en payer le prix, nous avons changé les règles du jeu. Nous avons fait tomber des murailles qu’on disait inébranlables. Nous avons, je crois, contribué à ce résultat et aux espoirs qu’il fait se lever. Nous continuerons ! Si la droite tient bon, si elle ne cède pas aux injonctions de la gauche, comme elle l’a trop souvent fait dans son histoire, alors oui, nous pourrons passer à la première étape pour sauver notre peuple et notre pays. Et c’est la raison pour laquelle j’appelle tous ceux qui me font confiance à voter pour les candidats de droite dimanche prochain. Faites gagner la droite dans l’espoir de faire gagner la France ! Je demande aussi à tous les Français qui aiment notre pays, de faire échouer en toutes circonstances les candidats de Jean-Luc Mélenchon, ce conglomérat des ennemis de la France. Ne les laissez pas nous islamiser, ne les laissez pas nous remplacer. Face à Jean-Luc Mélenchon, pas d’abstention ! Pendant deux ans avec Reconquête, nous avons appris. Nous avons commis des erreurs, nous avons connu des succès. Nous avons traversé, ces derniers temps, une phase douloureuse. Nous aurions pu y perdre notre cohésion et notre cohérence. Mais, au contraire, cela nous a renforcés. Et ceux qui nous voyaient déjà morts apprendront bientôt à nous voir ressuscités. Ressuscités et changés ! Oui, je vous annonce que nous allons travailler d’arrache-pied, parce que nous voulons progresser et nous renforcer. Notre combat sur l’école va prendre une tout autre ampleur. La voix de Reconquête sera entendue au Parlement européen et nous serons force de proposition en France. Dès le lendemain des élections, nous allons vous consulter, beaucoup, puis affiner nos stratégies, muscler nos atouts et nous fixer de nouveaux caps. J’y réfléchis depuis des mois. C’est le moment idéal pour le faire. Les Français pourront compter sur nous pour garantir que la victoire tant attendue sera à la hauteur de leurs espoirs. En attendant, il reste un second tour ! Encore une semaine de courage ! Ne lâchez rien ! Vive la République, et surtout, vive la France !

Bon. Finalement, le 14 juillet pourrait avoir lieu le 7, cette année. #RadioLondres

Si ça se confirme, ce n'est pas vraiment une bonne nouvelle. Le deuxième tour va être terrible. Il faudra voir circonscription par circonscription et surtout les consignes données par les faiseurs de roi