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Cette nuit, Israël a frappé une cible au centre de l'Iran pour envoyer un message. Même si la contre-attaque n'est officiellement pas lancée, elle se prépare.
De quoi calmer un peu de la frange israélienne la plus décidée.
Il y a une frange militaire israélienne qui insiste d'agir rapidement, ne pas laisser les américains dicter le rythme sur fond de négociations pour la Palestine à l'ONU, et veulent agir de manière unilatérale.
Désaccord important en Israël sur la contre-attaque du fait des Américains, qui font systématiquement savoir qu'ils ne soutiendront pas les plans décidés malgré d'intenses négociations.
L'opération ne devrait pas avoir lieu avant le début du mois de mai, selon certaines sources, qui affirment que d'intenses négociations avec les pays arabes sont en cours pour isoler l'Iran, et que la contre-offensive semble se dessiner sur le plan diplomatique avant le plan militaire.
Les iraniens il y a un 20aine de minutes ont publié un avertissement :
"Quiconque attaque notre terre sera puni, et l'ère du délit de fuite est révolue. L'entité sioniste doit savoir que nous avons imposé une nouvelle règle pour répondre à toute agression. Toute action de l'entité sioniste contre nous sera accueillie avec plus de force que l'opération de samedi dernier".
Israël vient de faire savoir par voie diplomatique qu'ils ne cèderont à "aucune tentative d'intimidation ni aucun chantage".
La mobilisation est en cours pour la contre-attaque israélienne, qui devrait être chirurgicale dans un premier temps, afin de jauger la réaction iranienne. La Russie, qui a pourtant appelé ces derniers jours les alliés de l'Iran à "résister à la pression américaine" sans recevoir de soutien concret, fait désormais savoir à Israël, par voie diplomatique, qu'elle "soutient une solution diplomatique à la situation".
En coulisses, tout le monde négocie avec tout le monde, tout le monde impose ses conditions à tout le monde. Les Américains semblent tout contrôler, tandis que la Russie est ignorée par la plupart des pays arabes.
Les Américains ont réussi à convaincre les Israéliens de reporter leur réponse afin de "pouvoir étudier toutes les options et ne pas agir dans la précipitation".
Puisque l'attaque a été relativement "facilement" déjouée, et qu'aucune victime civile n'est à déplorer, la contre-offensive sera matérielle et stratégique.
Le camp Netanyahu débat de l'intensité de la contre-attaque et certains, les plus ambitieux, parlent de détruire définitivement le programme nucléaire iranien.
Les israéliens planifient des frappes stratégiques sur l'Iran et interviennent déjà au Liban.
Les américains "ne participeront à aucune offensive".
Plusieurs états arabes ont aidé Israël dans la gestion de l'attaque iranienne. L'Arabie saoudite a joué un rôle important.
L'Iran est embarrassé face à ce que les pays arabes de la région décrivent comme un échec humiliant. À l'ONU dans les coulisses on parle d'une désillusion.