Faux virus et faux vaccins .
Le bluffe des "virus" et des "vaccins" : escroqueries scientifiques et politiques pour un génocide . Big Pharma, le casse du siècle . Les virus n'existent pas. Dr Alain Scohy et Dr Antoine Bechamp les microzymas
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Victor Scott : Le terme "mort cérébrale" a été créé pour le prélèvement d'organes. Vous représentez un revenu et il y a des gens qui mettent en place des systèmes pour prendre votre vie pour ce revenu. Un seul corps peut générer jusqu'à 11 millions de dollars.
🇫🇷 #Français - Analyse de Gonasyl 50, soi-disant "vaccin" pour du bétail bovin. Cette analyse est réalisée à la demande de personnes œuvrant dans le secteur de l'élevage en Espagne, qui ont vu leur bé...
Comprendre l'arnaque des virus qui sont en fait des exosomes fabriqués par notre corps pour lutter contre la mal a dit. Voir Microzymas et Antoine Béchamp
Écouter, échanger, réunir, informer. Soutenir et accompagner psychologiquement et juridiquement les victimes du Covid long et de l’injection anti-Covid.
Des fans de BD mettent la main sur un manuscrit inédit et se retrouvent embarqués dans un complot d'une ampleur gigantesque. Un thriller dystopique devenu culte, à l'humour noir et servi par une réalisation bluffante. Âmes sensibles s’abstenir !
AMIR
leur demandant de justifier scientifiquement des mesures dites « anti-covid » imposées depuis mars 2020. Lettre accompagnant la SOMMATION envoyée à 6 ministres : – lettre avec son AR à Jean CASTEX – lettre avec son AR à Olivier VERAN – lettre avec son AR à Gérald …
Virus ou pas virus ? Le débat se poursuit pour comprendre l’origine du délire paranoïaque appelé Covid-19. Ma formation (ou ma déformation) m’a amené à étudier ce concept en long en large et en travers sous l’angle des statistiques. La conclusion de 4 ans de travail est assez claire : il n’y a pas la moindre trace d’aucun nouveau pathogène dans les statistiques de malades ou de décès de ces dernières années. Tous les décès en trop sont dus aux mauvais traitements infligés aux plus fragiles par peur du virus. Toutes les dates, tous les nombres, correspondent à cette explication. On pourrait appeler cette démarche “bottom-up” (ascendante) : on part de la statistique finale pour revenir à ses fondements et conclure que rien de ce qui est appelé “Covid-19” n’est scientifique ni même cohérent. Un certain nombre de partisans de la méthode “top-down” (descendante) fustigent également l’absence de certitude, voire même de science, dans la théorie du nouveau virus tueur asymptomatique : le “SARS-COV-2”. D’autres considèrent au contraire que son existence est bien prouvée et ses propriétés connues. Pour appuyer leurs propos, ils citent volontiers des articles scientifiques publiés dans des grandes revues, tout en précisant que ces derniers ne sont pas fiables lorsque les résultats vont dans un sens déplaisant. Au sein d’une discussion à ce sujet, Yves Rasir m’a envoyé une étude publiée dans le prestigieux journal Nature “prouvant” que le “SARS-COV-2” est bien un pathogène. L’étude s’intéresse à la “résistance génétique” d’un grand nombre de souris que les chercheurs auraient “infecté” avec le virus. En lisant cet article et tentant de retrouver les résultats annoncés avec les données fournies en annexe, j’ai été tellement estomaqué par les incohérences à tout point de vue, que j’ai appelé mon ami Eusèbe Rioché à l’aide. J’en étais au point où j’aurai préféré qu’il me montre que je ne savais plus faire une addition. Malheureusement, la réalité est pire qu’attendue, Eusèbe ayant encore chargé la barque de cette prose écrite en globish qui se fait passer pour de la science. Je vais probablement finir par devoir suivre une thérapie tellement le simple fait de voir un type en blouse blanche sur un écran me déclenche désormais un fou rire incontrôlable. L'étude :
https://www.nature.com/articles/s41467-023-40076-5#Sec22