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Milinfolive vide son sac « L'armée de Kiev a reçu des États-Unis un stock important de missiles balistiques ATACMS, qu'elle peut utiliser contre les cibles de plus grande valeur. Dans le même temps, des frappes sont associées à l'utilisation de drones et de leurres, que nos systèmes de défense aérienne ne sont pas en mesure de repousser, ce qui entraîne de lourdes pertes tant au niveau des systèmes de défense aérienne que des radars, et la destruction d'infrastructures non protégées où il n'y a pas même de moyens banals de protection et d’abri ! Les industries ukrainiennes et occidentales ont commencé à produire en masse des drones kamikazes à longue portée et sont désormais capables de mener des raids massifs en utilisant simultanément des dizaines, voire des centaines de drones, et il n'y a tout simplement rien pour les entraver sur les sites régulièrement attaqués. Il est évident qu'à l'avenir, au moins la partie européenne du pays sera confrontée à des raids toujours plus nombreux de la part d'un nombre croissant de drones. Cela pouvait-il être prévu et même évité d’une manière ou d’une autre ? Comme toujours, oui. Nous parlons depuis de nombreuses années de la nécessité de construire des hangars et des abris de protection sur les aérodromes, nous avons donné de nombreux exemples de leur construction réussie à l'étranger et des conséquences sur leur absence en Russie. Dans le contexte de la guerre en cours, nous avons commencé à parler de la nécessité de construire des hangars dès 2022, après les premières tentatives timides de l'ennemi de frapper les aérodromes avec des drones. Qu'ont fait les officiers généraux et le ministère ? Ils ont peint des avions sur l'asphalte et recouvert les avions de pneus. Dès les premières annonces sur les futures livraisons de missiles ATACMS à l'Ukraine, il était évident pour nous que ce seraient les bases aériennes, y compris celles de Crimée, qui seraient en premier lieu menacées. Ici, l'exemple de la BA de Baltimore à Voronej est remarquable : les charpentes de construction sont là, les hangars pour les avions sont inachevés depuis 8 ans ! Pourquoi ? Dans le même temps, en 2022, nous avons annoncé la nécessité de commencer à créer des groupes anti-aériens mobiles, à l'instar des Ukrainiens, car à l'avenir, la menace des attaques de drones ennemis allait augmenter. Au lieu de cela, il était d'usage de se moquer publiquement des groupes de défense aérienne ukrainiens, alors qu'ils devenaient en réalité l'un des principaux facteurs de la diminution significative de l'efficacité des Shahed-136. En conséquence, ils n'ont commencé à réfléchir à la création de tels groupes que ces derniers mois, lorsque la situation avait déjà atteint le point où les raids engageaient des dizaines de drones simultanément. Drones que la propagande officielle qualifie de « débris de drones abattus ayant atteint » la cible. Nous ne pouvons qu'espérer que la nouvelle direction « économique » du ministère de la Défense parviendra néanmoins à la conclusion que les avions sont plus chers que les hangars, et qu'une camionnette équipée d'un canon anti-aérien est moins chère qu'une raffinerie de pétrole, et que les décisions seront finalement prises immédiatement par le nouveau ministre, si personne d’autre n’est capable de prendre ces décisions. Comme beaucoup de gens aiment le répéter aujourd’hui, on peut faire des erreurs, mais on ne peut pas mentir. » https://t.me/milinfolive/122401 👍 Et s'il ne s'agissait que de cela... La Russie a une grande chance qu'en face, Kiev et l'Occident sont pire ! Toutefois, ils ne sont pas toujours mauvais, et là ça coûte cher. Espérons que les hangars blindés n'aient pas terminé dans la poche de Timur Ivanov et d'autres corrompus comme Yuri Kuznetsov... Ceci pourrait expliquer cela : les corrompus n'ont aucun intérêt à ce que la presse dénonce les manquements de l'armée russe, qu'elle cherche à améliorer l'efficacité de l'armée russe, et ils incitent à la censure pour continuer leurs magouilles.

Cette nuit, Kiev a mené sa plus lourde attaque historique contre le littoral de la mer Noire, on se doutait que quelque chose allait se produire, et on ne sait pas s'il ne s'agit que de préparatifs à une attaque encore plus grande. Une centaine de drones aériens ont été utilisés pour attaquer essentiellement la Crimée et Krasnodar, en particulier Novorossiysk et Sébastopol. Des dépôts d'hydrocarbure, une raffinerie (attaquée sans la moindre défense aérienne sérieuse), des infrastructures maritimes, des postes électrique ont été pris pour cibles. Une panne de courant s'est produite dans une partie de Sébastopol (le courant n'est pas rétabli ce matin), d'autres pannes ont touché la région de Novorossiysk. Dans le même temps, l'ennemi a utilisé des drones kamikazes navals, notamment contre les bases navales russes en Crimée, mais apparemment sans succès (à confirmer). Voici un drone portant un missile air-air R-73 modifié, drone échoué en Crimée le 7 mai, rappelant que les hélicoptères russes utilisés pour lutter contre ces drones sont en danger. Les images satellites de l'attaque du 15 mai contre la base aérienne de Belbek en Crimée par des missiles balistiques américains ATACMS à sous-munitions à fragmentations, ont été étudiées plus en détails : 3 avions ont été entièrement détruits, 1 autre a été gravement endommagé, les autres étant légèrement endommagés, ainsi qu'un dépôt de carburant détruit. L'absence de protections blindées facilite les attaques ennemies qui peuvent couvrir une large zone avec une poignée de simples munitions antipersonnel, alors que des hangars blindés nécessiteraient un projectile perce-bunker par hangar, sans garantie de pouvoir atteindre chaque avion. Ceci était bien connu en 1945-1991 en URSS et dans les pays alliés, encore aujourd'hui (Syrie, Iran, Corée du Nord etc) mais l'armée russe post-1991 persiste dans le choix d'aligner ses aéronefs en plein air... Elle continuera à assumer ses choix. Cela permet d'alimenter la campagne menée par la presse russe depuis 2022 pour tenter d'influencer le nouveau ministre. Des personnes proposent des choix innovants pour répondre aux besoins de manière rapide et à moindre coût (cet exemple mérite d'être complété par un toit légèrement blindé). On espère vivement que le discours ministériel et présidentiel sera cohérent avec les actes.

Russie, mise à jour de la carte du front 🔸 Kharkov, dernière MAJ le 15 mai : L'armée russe a atteint Liptsy. A Volchansk, les combats urbains sont en cours, la progression est plus lente. Mais il y a peu de défenseurs en face.

Point sur la guerre en Russie 2/2 Au nord et nord-est de Kharkov, l'armée russe continue sa grande utilisation des drones kamikazes ou d'observation, détruisant toujours un nombre important de véhicules ennemis isolés. Un LRM Grad ; une voiture blindée US dont la roue arrière droite semble avoir été crevée par un drone FPV, avec un joli "effet retardé" ; un dépôt de munitions, etc. La légère augmentation de la pression russe à Kharkov nécessite un plus grand effort de l'ennemi, dont le pays est 5 fois plus faible numériquement (l'aspect économique est effacé par la prise en charge occidentale). Cela se traduit par une accélération de la mobilisation forcée. Kiev pleurniche pour faire chanter l'Occident : si vous ne nous donnez pas davantage de ceci ou de cela, nous perdrons Kharkov, ouin ouin. Ce sont les rois de la pleurnicherie depuis des années. Il serait étonnant que l'armée russe attaque la ville de Kharkov. La superficie à l'intérieur du périphérique extérieur est de 400 km carrés, Artemovsk représentait 25 km carrés, Avdeevka environ 15. Convertissez en années de combats (sauf changements majeurs dans l'ampleur du dispositif russe) ! Andrey Filatov publie davantage d'images de la scène drôle où un obus ennemi atteint une position proche de la sienne à Avdeevka. Il explique et montre qu'il est sorti ensuite de sa cache pour rétablir la communication perdue avec un de ses drones qui s'était fait emporter par le vent. La valeur des drones étant excessivement importante ! Comme on le voit, même en tant qu'opérateur de drones à distance, Andrey parvient à prendre des risques considérables. On ne le corrigera jamais ! Vive Andrey ! 😊

Point sur la guerre en Russie 1/2 Hier je rendais hommage aux femmes ukrainiennes qui aident les hommes en proie aux bandes armées du régime de Kiev qui les kidnappent depuis des dizaines de mois dans les rues. Les femmes réussissent à s'opposer à cette pratique car les consignes de Kiev sont manifestement d'éviter les émeutes : le régime ne voudrait pas devoir gérer dans ses arrières un grand mouvement de contestation. Il y a peut-être quelque chose à jouer ici, toutefois cela demanderait tellement de tact qu'il est préférable de laisser le mouvement se développer naturellement. Ces femmes, disais-je, réussissent à venir au secours des hommes, le phénomène mérite des félicitations pour leur geste, mais aussi pour leur courage, à défaut de pouvoir l'encourager sans que cela ne devienne contre-productif. Néanmoins, lorsque ces femmes sont seules à s'opposer à la capture d'un homme, les choses deviennent beaucoup plus dangereuses pour elles. Il arrive que les bandes armées libèrent leur proie s'il y a un risque d'envenimer la situation, il arrive que le rapport de force soit trop faible pour permettre une telle issue, mais il arrive aussi, en l'absence de témoins ou dans un endroit peu fréquenté, que la malheureuse se fasse tabasser. On pourrait conseiller aux hommes de ne pas se trouver seuls et isolés, de rester avec un groupe, de ne pas se trouver dehors la nuit. Le dirigeant Xi Jinping a déclaré à VVP que la Chine souhaitait que la guerre en Ukraine soit résolue par des négociations politiques dans le respect de l'ONU, sous-entendu des frontières de 1991, en tenant compte des préoccupations des deux parties. Xi fait légèrement évoluer son discours vers une désapprobation de la guerre en cours. Déjà les 6 mai et 8 mai, il affirmait vouloir le retour de la paix et les prix du fret ferroviaire et maritime chinois pour la Biélo/Russie avait été augmenté. Néanmoins, une subtilité est apparue : il ne s'agit pas d'imposer une paix à Kiev & Moscou, qui l'accepteraient ! Pékin dit simplement que si Kiev d'une part, et Moscou de l'autre, veulent discuter, alors la Chine soutiendra de telles discussions bilatérales. Les propos tenus lorsque Xi Jinping se trouvait avec le dirigeant français ont été mal interprétés, la Chine ne cherche pas à faire gagner du temps à Kiev pour se renforcer. Hier soir, l'ennemi a lancé 5 missiles balistiques américains ATACMS à sous-munitions sur la Crimée. Des bases aériennes russes et des dépôts d'hydrocarbure ont été atteints, les détails des dégâts ont été censurés par l'armée russe, qui pense ainsi cacher les résultats à Kiev ou à la population russe. Plusieurs avions ont été détruits sur la BA de Belbek, ainsi qu'un dépôt de carburant. La presse russe en profite pour relancer une campagne médiatique à l'attention du nouveau ministre qui pourrait peut-être décider de protéger les avions. Construire des hangars blindés nécessiterait à l'ennemi de déployer plus d'efforts et de moyens pour atteindre chaque avion, et cela permettrait à l'armée russe d'économiser la construction d'autant de nouveaux avions. A suivre. De nombreuses sous-munitions non explosées sont répandues, avec le risque que quelqu'un les touche, leur forme attire les enfants et les adultes. Dans le même temps, le littoral de la Crimée était parcouru par un grand nombre de drones navals kamikazes, qui n'ont mené qu'une simple reconnaissance. Dans la nuit, un premier drone naval avait pu être détruit, un autre a été détruit ce jour, l'armée russe a dit en avoir détruit 11 puis 15 aujourd'hui. 12 autres drones navals continuent de se balader au large de la Crimée. La technique de lutte demeure dangereuse puisque les hélicoptères russes peuvent être abattus par des drones équipés de missiles antiaériens à guidage thermique. L'équipage des hélicoptères tire alors des leurres thermiques « au cas où » : une solution assez psychologique à la limite du placebo : les gars sont courageux/insouciants. Autre vidéo. Les attaques ennemies sont supervisées par des avions-espion de l'OTAN au dessus de la Mer Noire.

La Bulgarie s'en prend une nouvelle fois au gaz russe. En 2022, la Russie ne pouvait plus se faire payer en dollars le gaz exporté en UE en raison du choix des Occidentaux de lui appliquer des sanctions. La Russie a donc mis en place un système permettant aux pays européens de lui acheter des roubles contre des dollars, et de payer le gaz en roubles. Système débile en réponse à la débilité occidentale. La Bulgarie a décidé de ne pas acheter de roubles, tout en refusant de continuer à payer en dollars, mais elle a réclamé que les livraisons de gaz se poursuivent gratuitement 😂 Puisque Gazprom n'a pas voulu livrer son gaz gratuitement, la Bulgarie lui réclame 400 millions $ de compensations. https://t.me/bbbreaking/181870 En raison des pressions de Washington et du politburo européen contre le commerce avec le concurrent russe, ce pays est celui qui a été le premier à refuser la poursuite de la construction d'un gazoduc direct depuis la Russie, le South Stream, préférant que le gazoduc passe par la Turquie et la Grèce (le Turkish Stream), ajoutant des frais de transit supplémentaires et le risque de chantage de la part de la Turquie ou de la Grèce. Il y a des gens avec qui il vaut mieux ne pas tenter de faire des affaires.

Article intéressant de @milinfolive qui relativise la réticence à utiliser les armes nucléaires, grâce à une comparaison très intéressante. Il constate l'absence de zones interdites à Hiroshima et à Nagasaki, où la population a reconstruit les villes endommagées par les deux bombes aériennes nucléaires américaines et où elle vit très bien aujourd'hui. Il constate qu'il existe toujours en France une grande zone interdite, dite "zone rouge", où se sont déroulés les combats de 1914-1918, et où l'on trouve des tonnes de mercure, plomb et autres composants d'armes chimiques ou conventionnelles, ou tout simplement des munitions oubliées ou non explosées, encore présentes en masse. On y déterre, lorsqu'on s'y aventure, des centaines de munitions en quelques dizaines de mètres carrés, sur seulement 15 centimètres de profondeur. Personne n'a tenté de sonder plus profondément. Les citoyens français sont peu nombreux à connaître ce problème. D'autant plus qu'un phénomène intéressant explique cette méconnaissance : toujours et encore la question du fric. Rapidement après l'armistice de 1918, les agriculteurs et autres exploitants ont poussé le régime politique à faire sortir leurs parcelles de la zone interdite, pour relancer leurs productions, les terres touchées étant historiquement très fertiles. Beaucoup de ces zones ont été exploitées, à l'époque nous ne connaissions pas le problème de la toxicité des métaux lourds, limitant essentiellement le problème aux seuls risques d'explosions. Cela a épargné un autre risque : celui des scandales publics, toutefois de nos jours, des scandales pourraient réapparaître si le dossier redevenait populaire (le régime préfère les problèmes bidons comme la grippe ou les escroqueries climatiques). La zone rouge est donc bien plus réduite qu'elle l'était à l'origine, et qu'elle devrait l'être encore de nos jours. L'autre phénomène qui a contribué à oublier cela est la transformation du paysage. La zone de guerre était depuis au moins le Moyen-Âge de vastes plaines cultivées. Après 1918, on y a planté d'énormes forêts permettant de dissuader les curieux et les exploitants. Cela concerne tant les parcelles publiques que privées. De nos jours, lorsqu'on se rend à Verdun par exemple, on y constate les étendues forestières de la région, à perte de vue : eh bien tout cela est artificiel et parfaitement volontaire. Ces forêts n'ont qu'une centaine d'années et cachent les restes de guerre pour de nombreux siècles, qui sont notamment une source de pollution via les nappes phréatiques.

Point sur la guerre en Russie L'ennemi a atteint un dépôt d'hydrocarbure en région de Rostov avec deux drones, provoquant un incendie. Une attaque importante eut également lieu contre la Crimée avec 16 missiles balistiques américains ATACMS, la liste des dégâts a été censurée par l'armée russe, laissant à l'ennemi le monopole de l'information. Encore une vidéo typique du kidnapping d'hommes ukrainiens par les bandes armées du régime de Kiev. Les femmes réussissent à entraver les ravisseurs qui ont certainement pour consigne de ne pas créer de troubles lors de leurs actions. Il conviendra d'écrire une page dans les manuels d'Histoire pour rendre hommage à ces femmes courageuses. Les Occidentaux jouent aux anxieux, déprimés et défaitistes dans le contexte du retour de l'armée russe au nord-est de Kharkov, près de Volchansk, terrain qu'elle avait pris sans combats sérieux en 2022, et qu'elle n'aurait jamais dû quitter. Les combats actuels sont totalement superflus, chaque perte était si simple à éviter... Devoir reprendre un terrain pris "gratuitement" et cédé de manière injustifiée, refaire un travail déjà réalisé et détruit, est toujours particulièrement irritant. Cela continuera à nous irriter jusqu'au retour de l'armée russe sur l'intégralité de ses possessions de mars 2022, de Kiev à Kharkov et jusqu'à Nikolaev. Que de temps perdu ! Les Tchèques se disent prêts à jeter l'éponge, estimant qu'ils pourraient mieux sauver leurs investissements en négociant un compromis. Washington aussi, se dit prêt à laisser Kiev négocier. Ils paraissent bien impressionnables. Ils veulent seulement gagner du temps via des négociations. Espérons que l'armée russe ne négociera pas : c'est le plus grand danger pour la Russie, qui aime tendre la main à ses ennemis affaiblis, plutôt que de les achever, et qui en subit les graves conséquences lorsque l'ennemi rompt les négociations après avoir retrouvé sa grande forme, ou plusieurs années plus tard en ne respectant pas les termes de l'accord. D'autres pays comme la France ne jouent pas cette fausse dépression et poursuivent leur rhétorique agressive. La Suisse veut s'autoriser la vente directe d'armes à Kiev et à tous les pays en guerre. Puisque le pays a décidé de ne plus être neutre, il souhaite être plus franc et cesser de vendre ses armes à des pays "en paix" qui transfèrent leurs propres armes à ceux en guerre. Les régimes politiques français et néerlandais veulent que l'UE se coupe de toutes les institutions financières qui travaillent avec la Russie. En particulier les turques, chinoises ou proche-orientales. Soit vous êtes pro-occidentaux, soit on ne veut plus commercer avec vous. C'est une excellente idée : que l'EuroLag s'isole du monde entier et qu'on n'en parle plus ! Andrey Filatov suggère d'envoyer « certains » officiers supérieurs et généraux à la tête des offensives : « bizarrement » ils se mettraient à inciter efficacement l'industrie militaire à produire des brouilleurs de drones et ils trouveraient de bonnes tactiques d'attaque 👍 VVP a signé la loi interdisant aux traîtres de participer aux élections (leur liste s'allonge très facilement). Un Abrams détruit, dont il manque un bout du canon ! « Paris envoie des troupes en Nouvelle Calédonie au milieu des pogroms » 👉🏻 On les attendait à Odessa, ils partent dans le Pacifique. Ils sont rusés les stratèges français !

Russie, mise à jour de la carte du front 🔸 Kharkov, dernière MAJ le 14 mai : L'offensive russe sur Volchansk marque une pause, celle sur Liptsy reprend.

La Roumanie cache de moins en moins sa volonté de conquérir la Moldavie, le dirigeant Ciolaku vient de déclarer que « les Moldaves et leur langue n'existent pas, on y parle la langue roumaine et se sont des Roumains ; les deux pays doivent être unifiés ». https://t.me/bbbreaking/181815 Je me demande ce que donnerait le propos suivant : « les Ukrainiens et leur langue n'existent pas, on y parle la langue russe et se sont des Russes ; les deux pays doivent être unifiés ». Dans le premier cas, Ciolaku est un menteur, son pays, historiquement expansionniste, a moins de 150 ans d'existence, alors que la Moldavie en a près de 700. Dans le second, j'ai raison : la Russie a environ 1150 ans d'existence, l'Ukraine n'en a que 33 et faisait partie de la Russie avant de faire sécession.