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Le Pr. Perronne nous explique donc des tas de choses...
... et par conséquent, qu'on ne nous dise pas que :
- nous n'avons pas le droit de poser des questions sur la preuve de l'isolement et donc de l'existence même des virus pathogènes contagieux sous prétexte que nous ne sommes pas virologiste,
- ni le droit de parler de la soi-disant contagion transmettant soi-disant une maladie à une personne saine par un micro-organisme parce que nous ne sommes pas scientifique,
- car le Pr Perronne nous parle d'élections européennes et de candidats à ces élections, mais il n'est pas constitutionnaliste ni politicien professionnel,
- et il nous parle de transfert de souveraineté à l'OMS, mais il n'est pas davantage juriste !!!
Alors, de quel droit le Pr. Perronne nous parle-t-il d'élections, de politique et de droit alors qu'il n'en est ni un professionnel ni un spécialiste ?
S'il a le droit de parler de ces sujets, alors TOUS les citoyens qui ne sont pas "scientifiques" ni "virologistes" ont aussi le droit de questionner les affirmations posées par la "science" et par la "virologie", et le droit de dire que jusqu'à preuve du contraire, on attend toujours de pouvoir lire une étude scientifique qui prouverait l'existence de soi-disant virus pathogènes et contagieux...
Il en va de nos libertés et de nos droits fondamentaux comme tout le monde a pu le constater depuis les 11 injections imposées aux nouveau-nés depuis 2018 (y compris celles imposées antérieurement), et les mesures dites "sanitaires" de lutte contre des virus depuis 2020, sans aucune preuve scientifique de l'existence même de tels virus (grippe, covid, bronchiolite, papillomavirus, etc... ).
D'ailleurs, où donc sont les
"données confirmées" par la science que le Pr Perronne est censé détenir et présenter pour justifier la diffusion de ses propos publics depuis des décennies confirmant encore et encore l'existence de soi-disant virus ou micro-organismes pathogènes contagieux, comme l'y oblige pourtant son code de déontologie médicale ? Article 4127-13 du code de la santé publique :
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042795678 ".Lorsque
le médecin participe à
une action d'information du public à caractère éducatif, scientifique ou sanitaire, quel qu'en soit le moyen de diffusion,
il ne fait état que de données confirmées, fait preuve de prudence et a le souci des répercussions de ses propos auprès du public. (...)".
Où sont ces "données confirmées" par la science qui prouveraient l'existence de pathogènes contagieux, et même de la simple "contagion" qui transmettrait soi-disant une maladie par des micro-organismes ?
Quand on est professeur de médecine, de réputation internationale, spécialisé dans les vaccins et les "virus" et les infections, dire depuis des années qu'on ne détient pas en réalité de telles données véritablement scientifiques confirmant l'existence des soi-disant virus aurait pu suffire pour permettre depuis 2018 au moins à des milliards de personnes sur la planète et au moins à des dizaines de millions de personnes en France (dont les parents des nouveau-nés), de refuser de subir toutes sortes de mesures soi-disant "sanitaires" (liberticides, de confinement, distanciation, fermeture de commerce, d'injection de substances, de tests invasifs douloureux et dangereux, d'interdiction de travailler, etc. ) qui ne peuvent être, faute de preuve scientifique de leur nécessité, efficacité et innocuité, que purement expérimentales et donc radicalement interdites par le droit international sans le libre consentement de chaque personne, c'est à dire sans une information libre indiquant que ces mesures sont destinées à lutter contre des virus qui sont, jusqu'à preuve du contraire, purement imaginaires !