Alexis Haupt Philosophie

"Pour penser un sujet, il faut avoir douté au moins une fois sur celui-ci, à défaut de quoi on ne fait que répéter le discours d’un autre sans le savoir. La soumission intellectuelle n’est pas une affaire de quotient intellectuel. Cela explique pourquoi les personnes «intelligentes» ou cultivées ne sont pas à l’abri de soutenir un récit absurde. En effet, il est stupéfiant d’observer qu’une personne a beau être dotée d’un haut quotient intellectuel, lorsqu’elle est en état de soumission intellectuelle, son intelligence et son bon sens sont totalement étouffés. Comme une personne qui met des lunettes alors qu’elle se trouve dans l’obscurité la plus totale, son quotient intellectuel ne lui sera d’aucune utilité pour voir la réalité autour d’elle. Ses capacités cognitives ne l’empêcheront pas de ne rien comprendre au monde dans lequel elle vit ni de voir l’ «éléphant dans le salon». Et alors, on l’entendra fort probablement répéter aveuglément la doxa, même si celle-ci prône un récit contraire à la réalité observable, voire totalement irrationnel ou insensé." Médiavers, médiathéisme et complosophisme https://amzn.eu/d/0hI41g8R

Les partis d’opposition ne s'opposent ni à la guerre voulue par l'OTAN, ni aux directives folles de l'UE, ni aux projets hégémoniques et liberticides de l'OMS, ni aux projets de contrôle de masse de Davos, ne dénoncent pas le plus grand scandale sanitaire de tous les temps, ni le terrorisme d'État, le totalitarisme et les crimes du Covid que nous avons vécus... Partant de là chers "partis d’opposition", veuillez m'excuser de vous le demander d'une façon si directe, mais à quoi vous opposez-vous au juste ?

Y aura-t-il une nouvelle pandémie comme le soutiennent certains experts ? Eh bien cela dépend : si les médias décident que oui, alors il y en aura une ; s'ils décident que non, alors il n'y en aura pas. Eh oui, nous vivons à l'ère du médiavers, il est donc important de prendre la mesure de la puissance de ce dernier : le médiavers peut littéralement fabriquer la "réalité" dans laquelle vivra la majorité. Ne pas comprendre cela, c'est être dans l’impossibilité d'analyser lucidement chaque évènement dont parlent les médias.

Il y a quelque temps, on a forcé des gens à prendre un produit expérimental et nocif, on a retiré les droits et libertés fondamentales à ceux qui l'ont refusé, depuis il a beaucoup d'effets indésirables et de morts, on a tué des personnes âgées avec du Rivotril, on a terrosisé les enfants avec des mesures folles, ce qui a considérablement augmenté le nombre de suicides chez les jeunes. Oui, mais c'est maintenant qu'il faut se battre contre l'extrémisme. Bref, le Médiavers vous manipule : sortez au plus vite de ce monde hors-sol.

"Je préfère être dans le vrai tout seul que dans le faux avec tout le monde." Discours de la servitude intellectuelle

"Posséder les médias, c’est avoir le pouvoir de piloter la majorité à distance, de sorte qu’elle crée elle-même le monde que l’on aura voulu voir apparaître." Médiavers, médiathéisme et complosophisme

Ah au fait, l'extrémisme c'était ça : "La surmortalité de la vague Covid du printemps 2020 s'explique même à 100% par l'usage du Rivotril en soins palliatifs [...] il s'est agi d'un assassinat légal de dizaines de milliers de vieux." J-D Michel, Autopsie d'un désastre

Comment lutter contre le fascisme en 2024 ? En commençant par comprendre que la marque de fabrique du fascisme actuel est de prétendre lutter contre le fascisme, l'extrémisme, etc. Sans comprendre cela, on soutient le fascisme de la pire des façons : en croyant s'y opposer.

En fait, quand Étienne Chouard dit : « Ce n’est pas aux hommes de pouvoir d’écrire les règles du pouvoir », ou quand il explique que la démocratie n’est pas d’élire son maître mais de voter ses lois, il prononce les phrases les plus révolutionnaires dans un pays qui, à un moment donné de son histoire, s’est proclamé démocratique mais qui demande depuis lors à son peuple d’élire des maîtres, lesquels prendront ensuite en main les choses sérieuses : les lois. C’est-à-dire au sein d’un pays où les règles du pouvoir sont écrites et retouchées par des représentants martelant aux représentés un récit absolument contraire au réel : « vous avez le pouvoir ».