🌏🌺☀️ Canal Des Ateliers De l'Eveil - Lynda GAIA ☀️🌺🌏

Et s'en défaire c'est simplement accueillir ce qui nous dérange, ce qui nous fait honte, ce qu'on aimerait cacher... et apprendre à aimer ces parts de nous qui sont natures, impulsives, protectrices et qui recherchent tellement notre approbation. La vie est si simple quand on comprend les bénéfices secondaires en jeu dans ces situations dérangeantes.

Les mots que nous utilisons ont une grande influence sur notre corps, mais leur puissance est décuplée si... Explications sans cet audio ci dessous🌺

Qu’est-ce que la dépendance ? La dépendance, c'est beaucoup de choses, mais à la base, il s'agit d'une évasion de pensées, de sentiments ou de sensations désagréables voire apparemment insupportables dans le corps. C'est une évasion de la VIE. C'est une recherche d'AMOUR. Dans tous les "mauvais" endroits... C'est l'incapacité de vivre avec notre douleur. Il s’agit d’une tentative de rester en sécurité en utilisant et en faisant des choses qui ne sont en réalité pas du tout sûres. C'est une tentative de sortir du moment présent et d'entrer dans un autre. C'est une tentative de sortir de ce corps et d'entrer dans une autre version de celui-ci. Ou plutôt, c'est une tentative de changer notre humeur, nos sentiments, nos expériences, en utilisant quelque chose d'extérieur, en nous appuyant sur quelque chose d'extérieur à nous-mêmes. Tout pour ne pas ressentir ce que nous ressentons, tout pour ne pas affronter ce que nous savons devoir affronter. (Et nous sommes poursuivis par ce que nous savons que nous devrons éventuellement affronter. Oui, la dépendance est l'expérience d'être poursuivi, traqué, traqué...) Je ne veux pas juger ici. Il est important de ne pas nous juger nous-mêmes. Nous faisons tous cela. Nous fuyons tous. Nous cherchons tous. Nous courons tous. Nous sommes tous accros à quelque chose... Certains consomment de l’alcool, des drogues, de la nourriture. Certains utilisent la colère, le contrôle, la manipulation. Cela les fait se sentir mieux. Certains d’entre nous deviennent dépendants des autres. Votre amour, votre reconnaissance, votre attention. Certains d’entre nous deviennent dépendants de croyances, de dogmes, de religions, de gourous, de figures d’autorité. Peut-être qu'ils nous sauveront de nous-mêmes. Certains d’entre nous deviennent dépendants de leur propre pensée. Tout pour que nous nous sentions plus en sécurité. Tout pour essayer de maîtriser nos peurs. N'importe quoi pour ne pas être là. Et maintenant. La dépendance prend de nombreuses formes, mais elle est essentiellement un rejet du moment présent, une évasion du présent, un profond manque d’amour-propre et d’acceptation de soi. Nous ne pouvons pas arrêter la dépendance par la seule volonté. Nos objets de dépendance vont bouger, changer de forme. Nous passerons d’une addiction au tabac à une addiction au jeu. D’une addiction à la nourriture à une addiction aux expériences spirituelles. D’une addiction à un amant à une addiction à un gourou. D’une addiction au travail à une addiction à la salle de sport. Pour guérir de la dépendance, nous devons faire face à ce qui est en nous. Plus besoin de fuir. Plus besoin de se détourner. Nous devons faire face à la colère, au chagrin, à la solitude et à la peur. Le vide intérieur. Plus besoin d'essayer de les remplir. Le vide. Plus besoin d'essayer de les cacher. Et peut-être, arriverons-nous au cœur du problème. Et nous toucherons à ce que nous avons caché toute notre vie. Et nous plongerons dans la désolation et l’obscurité et trouverons la lumière. Nous perdrons tout intérêt à éviter le moment et gagnerons en intérêt à le toucher. Nous devenons accros au... présent. Nous tomberons amoureux des créatures merveilleuses, désordonnées, étranges, maladroites, puissantes, impuissantes, vulnérables et sensibles que nous sommes. Nous cesserons d’ignorer notre humanité. Nous cesserons de cacher notre authenticité pour gagner l’amour de ceux qui ne peuvent pas nous aimer. Nous perdrons tout intérêt à être ce que les autres veulent que nous soyons. Sereconnetre.fr

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Quand on pleure en regardant un film, on se reconnecte à notre mémoire cellulaire et on vient diminuer naturellement l'impact du traumatisme premier. Si on retient ces émotions alors c'est l'inverse qui se fait, les 180 volts vont augmenter à chaque fois de toutes ces émotions que je garde en moi.

Nos traumatismes sont cristallisés dans notre corps et encapsulés dans notre mémoire cellulaire. S'en libérer se fait naturellement tout au long de notre vie, si on en comprend le processus et qu'on le laisse agir. Explication dans l'audio ci-dessous.