LIRE POUR COMPRENDRE

Alexis HAUPT, "De la société pharmaco-punitive au crédit socia" 4ème de couverture : « Une gouvernance pharmaco-punitive n’est pas une fin en soi mais un moyen : un sas d’entrée. La société pharmaco-punitive peut avoir pour but d’opérer un changement radical de société, changement orienté vers davantage de restrictions et de répressions. Elle peut tout à fait servir de phase transitoire à une société autoritaire de contrôle des humains par le numérique : une société numérico-restrictive, voire numérico-répressive, laquelleest une forme de crédit social « à la chinoise ». La société pharmaco-punitive peut utiliser un prétexte ou une idéologie sanitaire pour préparer le citoyen à accepter la société de contrôle et de restriction : une société qui offre la possibilité à l’État de restreindre arbitrairement les libertés des citoyens pour pouvoir les contrôler, les surveiller, les contraindre, les formater et les dompter, d’une part. Et de réprimer ceux qui s’opposent à cette société de contrôle et de contrainte par ce que je nomme la répression tacite, d’autre part : rendre la vie difficile au « mauvais citoyen » sans le punir de lourdes peines mais en le forçant à obéir par le chantage et l’extorsion de consentement de sorte qu’il ne puisse pas parler d’autoritarisme. » Mon avis Un autre petit ouvrage, facile à lire pour chacun mais suscitant nécessairement la réflexion Pour ceux qui veulent se mettre à la philosophie sans commencer par de volumineux essais, c'est un livre idéal. Je vous en propose deux extraits : "Alors, médecins, expliquez-moi comment fonctionnent l'ARN messager, la propgation des virus, les anticorps, etc ; j'ouvre grand mes oreilles. Quant à moi, je vous explique comment fonctionne le totalitarisme au 21ème siècle, ouvrez grand le vôtres : en s'accaparant la Médecine : Eh oui, les prétendus "antivax" ne refusent pas seulement un produit doutexu, ils refusent aussi le totalitarisme en ne se soumettant pas aveuglément au récit et aux ordres de l'autorité. Que diable ! Quand u npeuple se vaccine pour ne pas perdre ses droits fondamentaux, alors il ne fit pas une terrible pandémie, mais un sournois régime totalitaire : Alors oui, je t'entends d'ici, 'le covid est responsable d'une panédmie, le minimiser est une attitude irresponsable'. Eh bien, la soumission intellectuelle, c'est-à-dire l'incapacité de suspendre son jugement devant le récit officiel sur cette pandémie, de soutenir du regard les failles qu'il comporte et d'investiguer est qunt à elle responsable du totalitarisme 2.0 : la société pharmaco-punitive. Je te retourne le reproche : ne minimise pas le danger dont je te parle !Le pire fléau pendant la crise covid, ça n'a pas été un virus, mais la soumission intellectuelle" (Alexis HAUPT, "De la société pharmaco-punitive au crédit social", p.65) "La pire dystopie est celle où les gens lisent 1984 d'Orwell en se disant "C'est horrible", sans se rendre compte qu'ils sont eux-mêmes dans un régime autoritaire et que ce dernier durera aussi longtemps qu'ils n'auront pas conscience d'y être" (Alexis HAUPT, "De la société pharmaco-punitive au crédit social", p.74)

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Notez aussi qu'un chapitre du livre a été écrit par Pierre CHAILLOT, dont le Dr COLIGNON salue, lui aussi, les vertus pédagogiques, le sérieux et l'efficacité. Le site web de l'ordre Univrsel des Praticiens de la Santé https://www.ordreuniversel.org/ Présentation du livre : https://homeobel.eu/sars-wars-les-pires-contre-attaquent-par-alain-colignon/

"SARS WARS" du Dr Alain COLIGNON 4ème de couverture : Notre profession s'abime jour après jour depuis 30 ans. Sa débâcle morale est sauvée in extremis par les profonds progrès de la technologie. L'industrie et les laboratoires pharmaceutiques sont souvent visés par les critiques que soulève cette crise nauséabonde mais les médecins en sont les seuls responsables. Les labos sont des entreprises commerciales qui ont fait leur boulot. Le nôtre était de protéger nos patients de la soif de profit de l'industrie pharmaceutique en lui imposant le respect de notre serment. Nous, les médecins, avons préféré les marchands de tapis au bien-être et à la santé de nos frères et soeurs. Nous avons craché sur notre serment ! Mon avis : Le Dr Colignon est un médecin que j'écoute régulièrement depuis le début de toute cette hystérie politico-sanitaire. D'une part parce qu'il ose s'exprimer, d'autre part parce qu'à la clarté de son raisonnement s'ajoute un humour qui permet de faire passer les plus grosses vérités sans trop de casse. Quand j'ai vu qu'il avait écrit un ouvrage - dont les bénéfices, on l'apprend à la fin du livre, vont à l'Ordre Universel des Praticiens Soignants (OUPS) qu'il a créé - je me suis ruée dessus, et je n'ai pas été déçue. Le Dr COLIGNON dresse un panorama assez large des erreurs commises par les Ordres professionnels (dont celui devant lequel il fut amené à comparaître pour n'avoir pas obéi, et pour avoir soigné ses patients et refusé l'hystérie des masques), mais aussi aux prémices qui permirent cette obéissance aveugle : la chute du niveau de l'éducation scolaire, la main-mise de l'industrie pharmaceutique, le volte-face de certains médecins ayant signé des études montrant l'efficacité de certains traitements, avant d'être embrigadés dans le projet vous du "Vaccinopolis". Le tout basé sur une bonne culture générale, non seulement bien sûr en histoire de la médecine, mais en Histoire (tout court). L'un ou l'autre petit extrait pour vous mettre, j'espère, en appétit et vous donner envie d'en lire plus : "Des milliers d'études observationnelles ou randomisées infirment la vérité officielle, des milliers de médecins s'insurgent contre la doxa sanitaire, des milliers de physiciens, de climatologues s'insurgent contre la phobie du carbone, des philosophes, des juristes, des mathématiciens s'opposent à la débâcle de l'enseginement, mais cette foule de spécialistes de toutes disciplines et de toutes origines, bardée de diplômes, hurle bâillonnée et s'agite en vain derrière les barreaux d'une prison de silence mise en place par des histrions minables. Des fats courtisés pour leur docile mollesse qui à tous les échelons de la société servent des maître qu'ils ne connaissent pas et qu'ils ne verront jamais. Le plus grand complot de l'histoire est en marche. Il se déploie au grand jour et personne ne le le voit." (p.212) ______ Après avoir résumé quelques "hauts faits" d'obéissance du Conseil belge de l'ordre des médecins pendant la seconde guerre mondiale, le Dr Colignon conclut également : "L'Ordre des médecins belge s'est comporté durant la seconde guerre mondiale comme il s'est comporté pendant la crise du Covid. Les actions politiques ne le concernent pas, même lorsqu'elles violent notre éthique. L'Ordre n'a pas retenu les leçons du passé !" (p.130). _____ "Les vrais médecins, ceux qui vous ont soignés, ceux qui vous ont sauvés, l'ont trop souvent fait dans l'ombre en se cachant au lieu de lever l'étendard de la révolte. Ils ont fait avec honte et discrétion ce qu'ils auraient dû faire avec fierté, au grand jour ! Pour m'être opposé publiquement à la désastreuse gestion de la crise sanitaire, j'ai été suspendu durant 2 années par le torquemada des Complotistes, pneumologue retraité du CHU Tivoli avec qui j'ai travaillé durant 16 ans. Devenu Président de l'OM du Hainaut, le docteur Bruart persécute les résistants qu'il convoque les uns après les autres devant son politburo de pacotille." (p.87) _____

John COLEMAN, "La diplomatie par le mensonge: un compte rendu de la traîtrise des gouvernements de l'Angleterre et des États-Unis" Je viens de finir cet ouvrage qui, à nouveau, est passionnant Après avoir expliqué pourquoi, au regard du droit américain notamment, les Nations unies et à leur suite l'ONU n'auraient jamais dû voir le jour ou à tout le moins n'auraient jamais dû être rejointes pas les USA, l'auteur nous plonge dans une série de dossiers où, mensonge après mensonge, les Etats (et l'ONU) ont créé des guerres, assassiné des dirigeants, etc.. Pour rappel, John COLEMAN est britannique et ancien agent des renseignements. C'est un ouvrage que je vous recommande très très chaudement,mais peut-être pas le premier à lire de cet auteur Remontez le fil dans ce canal, vous en trouverez d'autres également

"Rira bien", de Yann MALAUD 4ème de couverture : En 54 après le Grand Cataclysme (GC), Paris intra-muros est devenue une ville-état autonome et écologique, dans laquelle le politiquement correct a conduit à une interdiction de l’humour. Un haut fonctionnaire est associé à contrecœur à un Juge Inquisiteur, et à une IA d’un nouveau genre, pour enquêter sur une série d’attentats. Qui est ce « Syndicat du Rire » qui appelle à l’insurrection ? Qui est ce « Bouffon » dont l’humour peut tuer ? Alors que les événements prennent une tournure dramatique, l’enquête de ces trois personnages que tout oppose va ouvrir une boîte de Pandore et libérer des forces trop longtemps enfouies, qui non seulement mettront en danger leurs vies, mais feront aussi courir le risque d’un nouvel effondrement de la société. Car de la farce au drame, de la comédie à la tragédie, quand l'humour est une arme, on passe vite du rire aux larmes. Mon avis : Quentin, le personnage principal de ce roman, évolue dans un monde qu'il n'aime pas : l'humour est devenu illégal, des I.A. traquent infatigablement toute entorse à cette nouvelle loi qui prive l'être humain de ce qui lui est propre. Le tout dans un univers qui pousse l'inclusivité à son paroxysme, de l'orthographe aux quotas d'emploi. Dans ce mélange dystopique qui tient autant de Farhenheit 451 que de 1984, l'auteur distille quelques réflexions qui trouvent déjà leur place dans le monde où nous vivons aujourd'hui. Qu'est-ce qui a bien pu mener l'être humain à une telle déchéance culturelle ? Extrait : "Beaucoup de ces jeunes reprochaient à leurs parents, souvent issus de la première génération d'après GC et nés après la Constitution Salvatrice de l'An4, davoir trop passivement accepté la mise en place d'une certaine dictature du Politiquement Correct qui, poussé à son paroxysme, avait conduit à une forme d'enfer pavé de bonnes intentions. Cette dictature parfaite était uen dictauture qui avait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeaient pas à s'évader ; un système d'esclavage où, grâce à la consommationet au divertissement, les esclaves avaient l'amour de leur servitude. Mais les jeunes ne pouvaient que constater que la génération précédente, trop précautionneuse, souffrait de pudibonderie, et que la dépression était devenue la maladie la plus répandue à Paris. On pointait également du doigt les déviances individuelles et les dérives collectives, dont les revers de la médaille de la discrimination positive, le replis des libertés fondamentales, l'appropriation de privilèges par une caste de politiques hors de contrôle en l'absence de contre-pouvoirs ; on s'interrogeait sur le bienfondé des règles d'Euthanasie programmée, sorte de "Darwinisme social" qui éliminait les plusfaibles et les moins productifs." (p.362). Dans ce Paris dystopique dont nul ne sort, que faire pour rendre à l'Humain ce qu'il a perdu, alors qu'il n'est plus même autorisé à posséder un crayon et du papier ? Un super moment de lecture, une belle plume, de l'humour (malgré qu'il soit interdit). Bref, j'ai adoré. Et j'ai commandé dans la foulée son roman précédent.