David Granda

🤪LA FOLIE DE MACRON Prenant un plaisir maladif à détruire la France comme Néron provoquant l'incendie de Rome, Macron va-t-il annoncer qu'il démissionnera en cas de défaite aux législatives ? Imagine-t-on une présidentielle pendant les Jeux Olympiques ? Ou en plein mois d'août ? x.com/Frontieresmedia/status/1800421632634486850 Le problème n'est bien sûr pas de voir partir Macron, 85% des Français le souhaitent. Il est que l'élection présidentielle se dérouler en plein été et avec une rapidité telle qu'il soit impossible de récolter 500 parrainages, compte tenu des délais posés par la Constitution.

«Plan machiavélique» et troisième mandat: Marc Lazar a-t-il percé la raison pour laquelle Macron a dissous l’Assemblée? Pourquoi Macron prend-il le risque d’une cohabitation? Etant donné que l'ex-employé de Rothschild est tout sauf un idiot, c’est peut-être «un calcul politique», suspecte Marc Lazar, professeur à Sciences Po. ▶️«Dictateur à vie»? Macron a «prévu son coup avec son pote Fabius», le «gars du sang contaminé» Et d’expliquer le stratagème, permettant de manipuler la Constitution:

Avoir une majorité ingouvernable, de se retrouver, au lendemain du 7 juillet, devant cette majorité-là, de prendre à partie les Français, de leur dire «Ecoutez, je vous ai donné la parole», mais puisque c'est comme ça, je démissionne.

Et là, s'ouvre le débat constitutionnel, en réalité déjà lancé depuis 2023 avec des coups de sonde médiatiques dans l’opinion. «A-t-il le droit de se représenter? Il y a deux interprétations.» Dont une: le mandat n'a pas été fini, donc le Young Leader de Davos peut. ➡️➡️«Info» Europe 1–Après la dissolution, la dramatisation? Emmanuel Macron pourrait mettre sa démission dans l'équation

Voici pourquoi il faut absolument voter contre l'Union Européenne.

«Je veux qu'on m'explique pourquoi il nécessaire de faire la guerre à la Russie»—Caroline Galactéros «En quoi elle menace la France, les intérêts vitaux de la France?», s’interroge la géopolitologue sur plateau de TV Libertés.

En quoi le sort de l'Ukraine est-il vital pour la France? Il ne suffit pas juste de dire: «c'est nos valeurs...»

Des questions qui ne seront bien entendu jamais abordées sérieusement par une presse qui n’est plus que le relais servile d’un pouvoir qui peut tranquillement dérouler un narratif parfaitement absurde. Le seul casus belli pour la France dans ce conflit, c'est le sabotage de Nordstream, infrastructure énergétique européenne stratégique dans laquelle Paris avait des billes. Mais là, évidemment... ▶️ Pour LCI, Macron est James Bond venu sauver le monde de la menace nucléaire brandie par le terroriste Poutine

⚡️ «Le nazisme revient en Europe»: Zelensky prend ouvertement les Français pour des abrutis, les députés lui réservent une standing ovation «De nouveau en Europe apparaissent des camps de filtration, des déportations et la haine, ce qui est devenu un nouveau culte russe», a-t-il lancé accusant la Russie d'être le 4e Reich. Un comble pour l’ex-comédien qui est arrivé au pouvoir avec le soutien actif de Secteur droit, en s’appuyant sur la milice néonazie Azov et qui ne renie pas l’héritage du héros local Stepan Bandéra. Sans compter qu’il y a quelques mois encore, il applaudissait à tout rompre un authentique SS au parlement canadien. Venu avec l’objectif d’asseoir une légitimité qui lui fait défaut, le président sans mandat a pu dérouler un narratif totalement hors sol devant des élus béats d’admiration:

Ce régime russe ne connaît pas de limite. L'Europe ne lui suffit plus

Vite, envoyez des milliards avant que Poutine ne conquière le monde. ▶️ Kiev interdit toute question de l’opposition sur la légitimité de Zelensky, dont le mandat de président a pris fin

Esseulé, Macron renonce (temporairement et à reculons) à faire entrer le pays en guerre Pourtant attendu, l’envoi de formateurs en Ukraine n’a pas été annoncé par le chef d’Etat, qui s’est rabattu sur le don de Mirage 2000, dont les pilotes seront formés en France. Interrogé sur le sujet, Emmanuel Macron s’est empêtré dans une explication alambiquée, défendant becs et ongles son idée: «Aller former quelqu'un dans la zone ouest qui est une zone libre en Ukraine, ce n'est pas agressif à l'égard de la Russie.» Et de s’énerver quand on lui demande ce qu’il adviendra quand ils seront pris pour cible: «Pourquoi voulez-vous que ce soit en soi un facteur d'escalade?» Si les militaires français apprécieront la considération qui leur est portée, il faut comprendre que cette réponse s’adresse davantage aux alliés: le chef d’Etat, qui se rêvait en chef de guerre à la tête d’une coalition, s’est heurté au refus de ces derniers de le rejoindre dans sa folie. En dehors de la Lituanie, ce qui est un peu léger pour déclencher la Troisième la guerre mondiale. ▶️ L'armée russe frappe plusieurs installations militaires dans la région de Lvov

LA VRAIE PRIORITÉ DE FANTOMAS Plutôt que d'aller soutenir Valérie Hayer en difficulté,candidate de la "majorité présidentielle" à laquelle il prétend appartenir,Édouard Philippe préfère aller prendre ses ordres au Bilderberg. Il ne fait même plus semblant. https://t.co/tKkIj4ujY2

«Prélude à une seconde occupation»: pourquoi de Gaulle a catégoriquement refusé de participer aux commémorations du Débarquement «Le débarquement du 6 juin, ça a été l'affaire des Anglo-saxons d'où la France a été exclue», expliquait le général de Gaulle, cité par un François Asselineau soucieux de faire ce rappel historique. «La France a été traitée comme un paillasson. Churchill m'a convoqué d'Alger à Londres le 4 juin et il m'a annoncé que le Débarquement allait avoir lieu deux jours après, sans aucune unité française», rappelait alors le général. Surtout, l'objectif était avant tout de «s'installer en France comme en territoire ennemi».

Ils avaient préparé leur AMGOT [Allied Military Governement For Occupied Territories]. Ils avaient imprimé leur fausse monnaie qui aurait eu cours forcé. Ils se seraient conduits en pays conquis

«Et vous voudriez que j'aille commémorer leur débarquement alors qu'il était le prélude à une seconde occupation du pays ?» Non content de participer aux commémorations, Emmanuel Macron vient d'y affirmer que «les Américains ont fait basculer l'Histoire» le 6 juin 1944. Signe que cette seconde occupation a finalement eu lieu. ▶️«L’Occident tente de déformer la vérité sur la Seconde Guerre mondiale car elle interfère avec sa politique coloniale»—Poutine

Bête de l’événement–«Nous sommes prêts à consentir aux mêmes sacrifices»: Macron prépare l’entrée en guerre du pays contre la Russie Dans un discours en amont des commémorations du Débarquement, le président a fait passer un message pas du tout subliminal aux Français en s’adressant aux militaires face à lui :

Alors que les périls montent, vous rappelez que nous sommes prêts à consentir aux mêmes sacrifices pour défendre ce qui nous est le plus cher, notre terre de France et nos valeurs républicaines

Et de marteler que, selon lui, la «jeunesse audacieuse et vaillante» était «prête au même esprit de sacrifice que ses aînés». Des propos qui répondent dans un écho parfaitement organisé à ceux du général Schill, chef d’état-major de l’armée de terre, qui affirmait la veille que «la nation est prête à des sacrifices pour défendre ce qui lui est cher». Notamment le terres arables d’Ukraine sur lesquelles lorgne Blackrock. ▶️ Vu de Russie–«Nous sommes à la veille d'une catastrophe mondiale»