Pédocriminalité à travers le monde

La faute à « Mowgli » ? Les soupçons existent, les preuves moins. En revanche quand une semaine plus tard, des individus ont voulu jouer du couteau toujours pour contrer les ambitieux, des éléments prouveraient directement son aversion des autoentrepreneurs… Deux autres instructions judiciaires sont ouvertes sur ces affaires. Quant à ses complices supposés, mis en examen et incarcérés, eux aussi seraient restés très discrets sur le rôle supposé du chef. Source 1 Source 2 Source 3 Soutenir ce canal ➡️ https://t.me/pedocriminalite

ENTRETIEN. Prostitution de mineurs : "Un phénomène dont le développement nous inquiète", indique le parquet de Toulouse. rocureur-adjoint à Toulouse, Sylvain Courdesse s’inquiète d’un phénomène décomplexé qui fonctionne sur le mode du trafic de stupéfiants. En quoi ce dossier de proxénétisme est-il particulier ? Par son importance, ses flux financiers et la jeunesse de protagonistes. Les prostituées, dont plusieurs sont très jeunes, restent des victimes aux yeux de la loi même si dans cette organisation, au moins l’une d’elles recrutait aussi. Parmi les protecteurs, on retrouve également des garçons mineurs. C’est une organisation semblable à celle qui se retrouve dans les trafics de stupéfiants où les plus jeunes servent aux surveillances ou à la vente de produits. Ces prostitutions de mineures, sur Toulouse, est-ce nouveau ? Ce phénomène dont le développement nous inquiète a déjà été identifié en France notamment dans les banlieues parisiennes ou marseillaises. À Toulouse pas encore même si le tribunal correctionnel vient de juger cette semaine un dossier presque similaire. Sur ce dossier actuellement à l’instruction, nous nous trouvons devant une équipe très organisée, qui n’hésite pas à se déplacer y compris à l’étranger et qui génère beaucoup d’argent. Avez-vous une idée des bénéfices dégagés ? Selon les calculs des gendarmes, au minimum 250 000 € sur huit mois. Une fourchette basse, probablement plus haute dans la réalité. Peut-être que toutes les prostituées n’ont pas été identifiées. Nous avons manqué de temps pour identifier les flux financiers. Avec des victimes mineures, nous nous devions d’intervenir rapidement. Vous évoquiez un lien avec le trafic de drogue. Certaines similitudes sont troublantes. Notamment par l’utilisation des réseaux sociaux. Les filles ne vont pas chercher les clients sur le trottoir mais via des annonces. Cela facile les contacts, peut-être que cela déculpabilise les jeunes femmes et leurs clients. Et la mise en place est simple, rapide : une annonce, une location, des clients… Cela explique les déplacements observés dans le cadre de l’enquête loin de Toulouse. Ce dossier, ouvert au criminel, sera-t-il jugé devant une cour d’assises ? C’est encore trop tôt pour l’affirmer. Mais les faits reprochés, la personnalité de certaines personnes dans l’organisation du proxénétisme peuvent le justifier. ————————- Condamné par la cour d’assises des Pyrénées-Orientales en 2022, "Mowgli" purge 25 années de réclusion criminelle. Ce qui ne l’aurait pas empêché d’être très actif dans un réseau de proxénétisme qu’il aurait entièrement organisé depuis sa cellule. Mowgli, le P’tit d’homme de Kipling, popularisé par Walt Disney. L’image est immédiate. Difficile d’imaginer un homme vociférant, menaçant. Pourtant « Mowgli », pour les jeunes femmes qui vendaient leurs corps ces derniers mois à Toulouse, ce serait le chef. Celui qui aurait d’abord su les faire rêver avant de les exploiter. Le même qui, toujours depuis sa cellule, dirigerait les protecteurs, embauchés pour jouer les gros bras et surveiller les filles. Celui aussi qui aurait mandaté des « flingueurs » pour éliminer la concurrence. Le conditionnel s’impose. Parce que cet homme de 28 ans a joué au Roi du silence devant les gendarmes. Et qu’il y a peu de chance qu’il se montre plus bavard devant le juge d’instruction Fabrice Rives, qui a beaucoup de questions à lui poser. « Avec un suspect qui passe ses journées au téléphone, on ne manque d’ores et déjà pas d’éléments », glisse une source proche du dossier. Sur le volet proxénétisme, son action serait centrale. Faut-il que « Mowgli » soit malin pour arriver à recruter filles et garçons sans laisser imaginer qu’il agissait toujours depuis sa cellule de prison. Et quand, lassés de ne jamais voir ce chef exigeant, certains de ses complices ont pensé voler de leurs propres ailes, cela s’est terminé par des coups de feu. Un garçon de 17 ans est mort début janvier, à Toulouse.

Les réseaux pédocriminels n'existent pas... Clients pédocriminels en liberté 12.07.2024 Hérault + Haute-Garonne + Paris - France + Suisse + Belgique : Ados ( garcons et filles) prostituées surveillées depuis la prison. La gendarmerie a démantelé ces derniers mois un réseau de proxénétismes dirigé depuis la maison d’arrêt de Béziers et actif à Toulouse. 20 personnes dorment en prison. Une fille de 15 ans qui pleure, épuisée psychologiquement et physiquement et un homme qui hurle. Qui lui intime l’ordre de coucher, encore. D’accueillir d’autres clients, encore. Pour gagner plus d’argent, encore. Cet échange, glaçant, illustre un esclavage moderne et une prostitution qui a quitté les trottoirs pour gagner les réseaux sociaux. Ce qui ne change pas, ce sont ces jeunes femmes, une dizaine, exploitées à Toulouse mais aussi lors de courts séjours à Paris, en Suisse ou en Belgique. « Souvent en fugue, perdues et qui pensent d’abord à gagner de l’argent, à s’habiller avec des vêtements de marque et jouer sur des smartphones dernier cri pour avoir le sentiment de vivre », confie une source proche du dossier. Cette vaste enquête a commencé voilà un an quand des gendarmes de Balma, recueillant les confidences d’une éducatrice affolée, « on fait un super boulot », insiste un officier. Recoupement et localisation, avec le soutien des enquêteurs spécialisés de la brigade des recherches de la compagnie de Toulouse-Saint-Michel, ont montré l’ampleur de ce trafic d’êtres humains. La section recherches de Toulouse a enchaîné à l’automne sous l’autorité du juge d’instruction Fabrice Rives, créant une cellule nationale. Cela a permis de suivre de petites équipes un peu partout dans et autour de Toulouse. Et même plus loin, à Paris. Particularité de cette organisation : son chef, désigné par l’instruction toujours en cours. Un taiseux, qui a même refusé de décliner son identité lors de sa garde à vue. Il demeurait beaucoup moins silencieux quand, depuis sa cellule de la prison de Béziers, il jouait les recruteurs. Il commençait son opération de charme pour recruter filles et hommes de main. Avant de devenir beaucoup plus menaçant avec ses protégées pour qu’elles additionnent les passes et fassent grimper les bénéfices. Entre mi-janvier et mercredi, les enquêteurs ont interpellé vingt-trois personnes, vingt-deux ont été mises en examen, vingt sont incarcérées ! En fuite, le dernier a été arrêté jeudi sur la côte méditerranéenne où il fumait un joint. Ces jeunes majeurs, recrutés par téléphone, jouaient les protecteurs pour « rassurer » les filles, confier préservatifs et lubrifiants et la drogue pour supporter les rencontres tarifées. Une jeune femme, séduite par les promesses, avait été recrutée pour récupérer l’argent des passes. Que sont devenus les 250 000 € minimum gagnés ces huit derniers mois ? Les perquisitions ont permis de récupérer 18 000 €, très loin des bénéfices estimés. Réinvesti ? Dans le trafic de drogue ? Les enquêteurs le soupçonnent mais manquent de preuve. Ce dossier, exemple d’un phénomène qui inquiète le parquet, trouble les spécialistes qui craignent une explosion de cette prostitution où les filles, uniques victimes, croient gagner un avenir argenté. Avec des hommes toujours prêts à en profiter ou à les exploiter. Lors de leurs investigations, les gendarmes de la section de recherches de Toulouse-Saint Michel ont identifié neuf jeunes femmes dont plusieurs mineures qui étaient proposées aux clients. Des hommes de tous âges, peu gênés par la jeunesse de ces Belles-de-nuit modernes. « Au départ elles acceptent pour l’argent. Le sexe ne constitue pas un obstacle. À les entendre, c’est même normal », confie une enquêtrice. Avant d’ajouter : « souvent leur entourage familial est absent, elles ont grandi dans un sentiment d’abandon et sont contentes de vivre leur vie, de pouvoir flamber. Seulement très vite les choses se gâtent, leur part financière diminue. Menacées, oralement ou physiquement, elles ne trouvent pas la force de s’échapper ». ——————

13.07.2024 Québec - Canada : Mathieu Tremblay-Niquet, 29 ans, trahi par une confession et sa propre «stupidité» est déclaré coupable d’avoir encouragé une ado de 15 ans à se prostituer. Le juge en a profité pour citer un dicton du célèbre Forrest Gump, incarné par Tom Hanks. Le verdict sera prononcé ultérieurement. L’affaire remonte à l’été 2018. La jeune plaignante de 15 ans avait besoin d’argent. Elle s’était donc tournée vers celui à qui elle achetait de la drogue: Mathieu Tremblay-Niquet. L’accusé «lui offre de lui trouver des clients pour avoir des relations sexuelles avec eux contre rétribution. En échange, il se garde une commission», lit-on dans un verdict de culpabilité rendu tout récemment au palais de justice de Roberval, au Saguenay–Lac-Saint-Jean. La victime, dont l’identité est protégée par la cour, et Tremblay-Niquet ont ensuite discuté par écrit sur les réseaux sociaux des détails de leur entente. L’ado a fait parvenir des photos osées à l’accusé, qui en demandait pour courtiser des clients. Une d’elles a été envoyée à un ami de Tremblay-Niquet. «Les deux discutent aussi du transport de la victime et aussi sur une place pour dormir ou venir après. [La plaignante] arrête finalement de répondre aux échanges, car elle change d’idée et devient mal à l’aise avec l’idée de coucher avec des clients pour de l’argent», relate le juge Jean-François Poirier. Notons que leurs discussions, incluant les photos de nudité, ont, à un certain point, été diffusées dans le milieu scolaire de la victime. En cour, Mathieu Tremblay-Niquet a affirmé avoir laissé traîner son ordinateur et son cellulaire, qui n’ont pas de mot de passe, pendant que plusieurs consommateurs de drogue et «gens festifs» se trouvaient chez lui. Ainsi, ce serait une autre personne qui aurait clavardé avec la victime et il l’aurait réalisé seulement des mois plus tard. «C’est curieux, car la conversation se passe sur plusieurs jours. Donc la même personne aurait eu accès sans son autorisation à son appareil et son compte Messenger sans qu’il ne s’en rende compte», évoque le juge Poirier. «Dire que cette thèse n’est pas plausible est un euphémisme. C’est une thèse qui s’est construite au fur et à mesure du témoignage, qui est incohérente et farfelue», ajoute le magistrat. Autre hic, Tremblay-Niquet s’était mis à table avec les policiers et avait confirmé ses démarches pour que l’adolescente se prostitue. Le résident de Québec assure «avoir tout inventé aux policiers en se disant que s’il leur donnait ce qu’ils voulaient, il serait tranquille». «Mentir pour s’innocenter, c’est une chose. Mentir pour s’incriminer sans protéger personne, c’est absurde pour ne pas dire plus. Il offre un témoignage appris où il se contente de dire qu’il a été stupide et qu’il ne réalisait pas l’ampleur de la situation», martèle le juge Poirier. Le magistrat en a profité pour citer l’un des dictons de Forrest Gump, ce personnage iconique du cinéma américain incarné par Tom Hanks. Maman disait toujours: «N’est stupide que la stupidité.» Coupable sur trois chefs d’accusation, dont possession et distribution de pornographie juvénile, Mathieu Tremblay-Niquet connaîtra ultérieurement sa peine. Source Soutenir ce canal ➡️ https://t.me/pedocriminalite

Suivi - 14.07.2024 Orne - France : Trois jours après la mort suspecte d'un bébé à la Ferté-Macé, trois personnes dont la mère de l'enfant ont été mises en examen pour "privation de soins ayant entraîné la mort" ce dimanche 14 juillet. Les services sociaux avaient été alertés dans les mois qui ont précédé le drame. L'enquête avance, trois jours après la mort suspecte d'un bébé à la Ferté-Macé dans l'Orne. Suite à leur garde à vue, trois personnes ont été mises en examen ce dimanche 14 juillet dans la soirée par le parquet de Caen : la mère de l'enfant, son compagnon et la mère du compagnon. Ils sont accusés tous les trois de "privation de soins ayant entraîné la mort" du bébé. Jeudi dernier, un bébé de 18 mois avait été retrouvé mort dans une maison située en plein centre-ville à la Ferté-Macé. Le médecin légiste n'avait pas pu déterminer les causes exactes de la mort. Pour le moment, le parquet n'exclut pas l'hypothèse de violences sur le bébé. Une autopsie doit avoir lieu lundi 15 juillet à Caen. Ce qui est certain, c'est que l'enfant n'avait pas été nourri ni lavé dans les heures qui ont précédé son décès. "Chacun des trois mis en cause aurait pu faire quelque chose, mais n'a rien fait", indique le procureur de Caen. vaient été alertés dans les mois qui ont précédé le drame. Une information judiciaire est en cours après la mort suspecte d'un bébé à la Ferté-Macé dans l'Orne Une information judiciaire est en cours après la mort suspecte d'un bébé à la Ferté-Macé dans l'Orne Une information judiciaire est en cours après la mort suspecte d'un bébé à la Ferté-Macé dans l'Orne © Radio France - Irène Prigent L'enquête avance, trois jours après la mort suspecte d'un bébé à la Ferté-Macé dans l'Orne. Suite à leur garde à vue, trois personnes ont été mises en examen ce dimanche 14 juillet dans la soirée par le parquet de Caen : la mère de l'enfant, son compagnon et la mère du compagnon. Ils sont accusés tous les trois de "privation de soins ayant entraîné la mort" du bébé. Jeudi dernier, un bébé de 18 mois avait été retrouvé mort dans une maison située en plein centre-ville à la Ferté-Macé. Le médecin légiste n'avait pas pu déterminer les causes exactes de la mort. Pour le moment, le parquet n'exclut pas l'hypothèse de violences sur le bébé. Une autopsie doit avoir lieu lundi 15 juillet à Caen. Ce qui est certain, c'est que l'enfant n'avait pas été nourri ni lavé dans les heures qui ont précédé son décès. "Chacun des trois mis en cause aurait pu faire quelque chose, mais n'a rien fait", indique le procureur de Caen. Le couple était bien connu dans le voisinage. Plusieurs habitants avaient déposé des mains courantes en gendarmerie après avoir assisté à des scènes de maltraitance et de violences. Les services sociaux avaient également été alertés dans les mois qui ont précédé le drame, ce que confirme le Procureur de Caen. Le parquet indique également qu'un juge avait récemment ordonné une mesure judiciaire d'investigation éducative (MJIE). La famille devait donc être suivie par un éducateur spécialisé. D'après le procureur de la République à Caen, la mère souffrait de problèmes d'addiction à la drogue et à l'alcool. Quant à son compagnon, qui n'est pas le père de l'enfant, il était sous curatelle, en raison de problèmes psychiatriques. En attendant le procès, les trois personnes mises en cause sont placées en détention provisoire. Source Soutenir ce canal ➡️ https://t.me/pedocriminalite

Suivi - 14.07.2024 Seine-Maritime - France : Le beau-père de Célya, principal suspect dans l'enlèvement et le meurtre de la fillette de 6 ans à Saint-Martin-de-l'If, a été hospitalisé ce dimanche 14 juillet, sur demande du parquet. Sa garde à vue est donc levée, indique le procureur de la République de Rouen, Frédéric Teillet. L'homme de 42 ans tenait des propos délirants en garde à vue. Il a donc été vu par un psychiatre. Ce médecin a constaté que le suspect avait "des idées délirantes de persécution, de complot, et de filiation" et des "hallucinations injonctives et hétéro agressives". L'enquête devra déterminer si le suspect est responsable pénalement ou non en fonction de ses troubles psychiatriques. Il est accusé du meurtre de Célya mais aussi de tentative de meurtre sur la mère de la fillette. Selon la mère de Célya, dont les propos ont été rapportés samedi par le procureur de la République de Rouen, l'homme "souffre de troubles psychiatriques" et était aussi "consommateur de produits stupéfiants de façon régulière et ancienne". Vendredi, il avait consommé "de la cocaïne à plusieurs reprises dans la journée". Vendredi 12 juillet, la mère de famille a appelé les gendarmes vers 18 heures pour signaler la disparition de sa fille. Elle soupçonne à ce moment-là son compagnon de l'avoir enlevée. Une alerte enlèvement est déclenchée trois heures après. Le corps de la fillette est retrouvé dans un bois à trois kilomètres du domicile samedi matin très tôt. Le beau-père est ensuite interpellé vers 6 heures du matin dans ce même bois. Source Soutenir ce canal ➡️ https://t.me/pedocriminalite

Archive piquante sur Frédéric Mitterrand, ce pédocriminel mort impuni : "Relations tarifées en Thaïlande, homosexualité, soumission..Frédéric Mitterrand face à Fogiel (ONPP)" A noter que se trouve à côté du pédocriminel Frédéric Mitterrand, la journaliste et proche de Laurent Ruquier, Claude Sarraute (décédée en 2023) qui boit ses paroles répugnantes avec délectation. Claude Sarraute était l'épouse du philosophe et écrivain Jean-François Revel, un des hommes accusé de faire partie de la secte d'intellectuels et notables pédocriminels de "La Rue du Bac". Remarquons que Claude Sarraute et Jean-François Revel ont adopté une fillette.... "Invité dans l'émission "On ne peut pas plaire à tout le monde" en mars 2005, Frédéric Mitterrand se confiait sur son roman autobiographique "La mauvaise vie". "On ne peut pas plaire à tout le monde", également connue son l'acronyme "ONPP", est une émission de talk-show, diffusée de 2000 à 2006, présentée et animée par Marc-Olivier Fogiel. © ENDEMOL FRANCE" Archive diffusée le 26 mars 2024 par la chaîne YouTube "Entrée libre" Durée : 19 mn Soutenir ce canal ➡️ https://t.me/pedocriminalite

Témoignage d’une enfance malheureuse dans une secte bouddhiste en France. "Depuis 2015, nous luttons pour la justice contre les dérives sectaires de l’Ogyen Kunzang Chöling (OKC) désormais organisé sous le nom Centre Bouddhique Mahayana (CBM) et son leader Robert Spatz alias Lama Kunzang. Condamné à cinq ans de prison avec sursis en Belgique pour des abus sexuels sur mineurs, prise d’otages, et autres crimes, Spatz continue d’échapper à une justice complète après avoir profité de vices de procédures, de mensonges face à la Justice et de l’utilisation du Bouddhisme Tibétain pour justifier ses crimes. Pour ces raisons, depuis 2018, de nouvelles plaintes ont été déposées en France contre un ancien éducateur du Château-de-Soleils, accusé de viols et contre Robert Spatz alias Lama Kunzang accusé d’avoir caché et organisé l’omerta pour ensuite abuser lui même de certaines victimes. Des familles et ami-es des victimes estiment que d’autres abus pourraient se poursuivre en Espagne, où Spatz et sa complice Yana vivent depuis 2003. C’est dans ces conditions que des victimes ont décidées de continuer leur combat en France, malgré leurs manque de moyens financiers. Votre soutien est crucial pour rassembler les fonds nécessaires pour payer leurs avocats et si possible contribuer à un fond pour le suivi psychologique des victimes, qui n’ont de fait pas les ressources nécessaires pour traverser cette épreuve difficile. Partagez notre campagne de collecte de fonds et si possible faites un don pour aider les victimes à reconstruire leur vie et à obtenir la justice qu’elles méritent. Ensemble, nous pouvons faire la différence. https://chardonsbleus.org " Association Les Chardons Bleus Témoignage diffusé le 13.07.2024 par la chaîne YouTube "Association Les Chardons Bleus" Durée : 3 mn 18 sec Source Soutenir ce canal ➡️ https://t.me/pedocriminalite

[PODCAST] Ancienne enfant placée, Nadia Héron témoigne Nadia Héron, 50 ans, a été placée pendant plusieurs années pour échapper à la violence de sa mère. Avec d’autres anciens enfants placés, elle a créé une association pour dénoncer les dysfonctionnements de l’aide sociale à l’enfance. Nadia Héron témoigne au micro d’Ambre Rosala. Témoignage diffusé le 1er juillet 2024 sur la chaîne YouTube du journal "Le Parisien" Durée : 21 mn 49 sec Soutenir ce canal ➡️ https://t.me/pedocriminalite

12.07.2024 Saint-Gall - Suisse : Cinq blessés dont un bébé dans une attaque à la machette. Un homme de 34 ans souffrant de troubles psychologiques a agressé à de nombreuses personnes jeudi dans la soirée. Une terrible agression a eu lieu jeudi vers 21h30 à Saint-Gall, dans un immeuble de la Hochwachtstrasse. On dénombre cinq personnes blessées. «Un Suisse de 34 ans a blessé cinq personnes à coups de machette, dont certaines grièvement. Selon les informations actuelles, il a soudainement attaqué une femme de 29 ans, enceinte, dans la cage d'escalier», communique ce vendredi la police cantonale saint-galloise. Le père de cette femme, 66 ans, à qui elle rendait visite, a tenté de lui porter secours. Il a alors été à son tour gravement blessé par l’agresseur. L’homme à la machette a alors quitté l’immeuble, mais d’autres voisins l’ont suivi ou étaient présents et ont essayé de le stopper. «Là, il a blessé une autre locataire de 31 ans d'une manière non précisée. Cette femme était accompagnée de son bébé de 3 mois. Celui-ci aussi a été blessé», indiquent les forces de l’ordre. Les habitants ont finalement réussi à maîtriser l’agresseur, qui a encore blessé l’un d’eux. La police a ensuite arrêté ce trentenaire. La police précise que «selon les connaissances actuelles», la vie des plus gravement touchés n’est plus en danger. L'auteur de l’attaque était connu de la police «comme un homme souffrant de troubles mentaux». Un liquide et un gaz inflammables ont été retrouvés déversés dans son appartement, est-il encore communiqué. Plusieurs patrouilles de la police cantonale saint-galloise comme de la police municipale ont été mobilisées. Quatre ambulances, deux médecins et un responsable des opérations médicales ont aussi été déployés. Une enquête a été ouverte. Source Soutenir ce canal ➡️ https://t.me/pedocriminalite