2/2 Malgré la suppression des informations sur le contenu et les mécanismes des thérapies géniques contre la COVID-19, des chercheurs indépendants ont identifié une liste substantielle d'ingrédients et de mécanismes de « vaccins » qui pourraient potentiellement entraîner le développement d'un cancer. Le cancer prend généralement plusieurs mois, voire plusieurs années, à se développer. Le fait que déjà, depuis le début du programme de "vaccination", des cancers soient associés aux injections est plus qu'inquiétant. Les cliniciens du monde entier ont signalé de nouveaux cas et réapparitions de cancers liés aux injections dans tous les groupes d'âge. Quand bien même on dit généralement aux médecins et au public qu’il n’existe aucune preuve que les thérapies géniques COVID provoquent le cancer, la vérité est que les fabricants n’ont jamais été tenus d’enquêter sur ce sujet. Et ce, même si les tests de cancérogénicité constituent une procédure standard requise avant l’approbation d’un médicament.
En 2022, on estime qu’il y a eu 20 millions de nouveaux cas de cancer et 9,7 millions de décès dus au cancer. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) rapporte qu’environ une personne sur cinq développe un cancer au cours de sa vie, et qu’environ un homme sur neuf et une femme sur 12 en meurent (OMS, 2024). L'OMS prévoit une augmentation des taux de cancer de 77% d'ici 2050, ce qui représente 35 millions de nouveaux cas. Mais l’augmentation réelle dépassera de loin ce chiffre. Le Wall Street Journal a rapporté en janvier 2024 que « le cancer frappe davantage de jeunes et que les médecins sont alarmés et déconcertés », les raisons étant « INCONNUES ». En 2020, le SRAS-CoV-2 a attiré l’attention du monde entier et a depuis été considéré comme un cancérogène potentiel, mais c’est en réalité depuis 2021 (l’année du déploiement du "vaccin" contre la COVID-19) que les taux d’apparition et de progression du cancer ont radicalement changé dans le monde. Simple rappel qui a son importance, en raison de l’approbation d’urgence, cette thérapie génique n’a nécessité aucune étude de cancérogénicité.
Depuis lors, cependant, les pays du monde entier ont signalé une augmentation constante des nouveaux cas de cancer. En raison de leur apparition soudaine et de leur progression rapide, ces cas sont souvent qualifiés de « turbo-cancers », certains apparaissant quelques jours seulement après l'injection. Plus de 200 études de cas ont été rédigées sur ce nouveau phénomène.
« Bien entendu, nous comprenons que "la corrélation n’est pas la causalité". Cependant, rien que dans notre petit cabinet, le cancer est devenu si courant qu'il constitue désormais le « pain quotidien » des traitements que nous proposons. Pour la première fois en 30 ans de pratique clinique, nous constatons des cas de cancer des yeux, de leucémie chez les nouveau-nés, de cancers multiples dans un sein et de familles entières atteintes de cancer. Nos commissions médicales et agences de santé sont, en moyenne, financées aux trois quarts par l’industrie pharmaceutique. Nous ne pouvons pas compter sur eux pour enquêter sur les causes réelles de l’explosion du cancer dans le monde. Nous vous demandons donc de soutenir les chercheurs indépendants et le Conseil mondial de la santé dans notre quête de la vérité. »
https://worldcouncilforhealth.substack.com/p/is-covid-gene-therapy-causing-cancer