𝐀𝐄𝐒 𝐍𝐄𝐖𝐒
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#AESinfo | #Niger 🇳🇪
Début du retrait des troupes américaines, plus de 269 soldats sur 946 ont déjà quitté le pays
Plus de 269 soldats américains sur un contingent de 946 ont déjà quitté le Niger, a-t-on appris vendredi de sources concordantes nigériennes et américaines, marquant le début du retrait des forces américaines du pays conformément à un accord conclu en mai.
Ce nouveau départ, effectué à bord d'un avion C130, "marque le début d'une série de plusieurs rotations de gros porteurs pour le rapatriement du personnel et du matériel conformément à l'accord du 19 mai", a indiqué une source nigérienne.
Cet "accord de désengagement" des troupes américaines précisait que des forces avaient déjà quitté le Niger et que le dernier soldat américain devra être parti "au plus tard le 15 septembre 2024".
Source : AIB
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Les sanctions anti-russes sont un "jeu stratégique occidental que beaucoup de pays ont compris".
"Beaucoup de pays n'ont pas suivi les sanctions, aussi bien en Afrique, en Europe ou en Asie", constate auprès de Sputnik le directeur général de la CCI du #BurkinaFaso.
"Les sanctions ne marchent plus, parce que ce sont les sanctions qui, au-delà des objectifs réels, ont des visées politiques et politiciennes qui n'ont rien à voir avec la justice, la légalité ou le droit international", explique Mahamady Koussoubé en marge du #SPIEF2024.
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#AESinfo | #Niger 🇳🇪
Levée de l'immunité de l'ancien Président : la défense de Bazoum dénonce une "parodie de justice" et se retire du procès au Conseil d'État
Ce vendredi 07 juin 2024, s’est tenu devant le Conseil d’État à Niamey le procès sur la levée de l'immunité de l’ancien Président Mohamed Bazoum. Après deux suspensions de séance, la défense de l’ancien chef de l’État s’est retirée de l’audience en dénonçant « une parodie de justice ». Selon Me Moussa Coulibaly, avocat de l’ancien chef de l’État, en l’état actuel de la procédure, ils n’ont pas encore pu avoir accès à leur client qui est détenu depuis le coup d’État du 26 juillet 2023 à la résidence présidentielle de Niamey.
« Il n’y a pas de justice dans ce pays, que si elle existe c’est une justice distributive, une justice à double vitesse et la défense de Bazoum s’est retirée pour les laisser poursuivre leur parodie de justice », a déclaré Maître Moussa Coulibaly, membre du Conseil de Bazoum Mohamed.
Source : ActuNiger
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#Burkina 🇧🇫
Des « Wayiyans », mécontents des propos de la représentation du Haut-commissariat des droits de l'Homme, montent au créneau
« ONU dégage dans toute la zone de l'AES. Allez loin avec vos propos mensongers sur nos FDS et VDP d'avoir tué des civils et non des terroristes»
AESNEWS
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#AESinfo | #Niger 🇳🇪 ⚡️ 🇧🇯 #Benin
Le Niger menace de fermer le pipeline Niger-Bénin si ses ressortissants ne sont pas libérés d'ici 17 heures
Le Niger a menacé de fermer le pipeline Niger-Bénin si cinq de ses ressortissants, interpellés par les autorités béninoises, ne sont pas libérés d'ici 17 heures aujourd'hui.
Selon le ministre nigérien de la Justice, Alio Daouda, ces cinq personnes sont des inspecteurs du pétrole qui devaient assurer le contrôle d'une cargaison en cours de chargement.
"Des équipes ont été arrêtées par l'armée béninoise. Ils ont pris leurs téléphones et sont partis avec eux. Nous ne savons même pas où ils se trouvent. C'est à minuit que nous avons pu entrer en contact avec le directeur général de WAPCO, qui m'a passé au téléphone la directrice générale adjointe. Je lui ai demandé quelle était la situation. Elle m'a rassuré sur le fait qu'ils n'avaient subi aucune maltraitance, mais qu'ils attendaient de voir ce qui allait se passer. Depuis minuit, nous n'avons plus eu de nouvelles d'eux. On nous a dit qu'ils n'ont pas été arrêtés, mais simplement interpellés", a déclaré le ministre nigérien.
Face à cette situation, le président nigérien a donné des instructions fermes, demandant la libération des Nigériens et leur rétablissement dans leurs fonctions d'inspecteurs de la cargaison avant 17 heures aujourd'hui.
"A l'heure où je vous parle, ils n'ont toujours pas été libérés. Face à cela, le chef de l'Etat nous a donné des instructions fermes. Si d'ici 17 heures aujourd'hui, nos équipes ne sont pas libres de leurs mouvements et ne sont pas rétablies dans leurs fonctions d'inspecteurs de cette cargaison, nous allons suspendre le chargement du pétrole. J'ai donc répercuté ces instructions au directeur général des hydrocarbures qui a pris toutes les dispositions nécessaires pour que cela soit effectif", a déclaré le ministre Daouda.
"Non seulement le bateau ne pourra plus charger, mais nous n'enverrons plus notre pétrole dans le pipeline jusqu'à ce que les Béninois décident de respecter leurs engagements et que le partenaire chinois les y contraigne", a-t-il ajouté.
Notre média a initialement rapporté que les employés nigériens avaient été libérés, sur la base d'informations provenant d'une source qui s'est avérée erronée. Nous présentons nos excuses pour cette erreur.
AESNEWS
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Le #Soudan et le #Mali coopéreront dans les domaines politique, économique et culturel
2 mémorandums d'accord ont été signés par les ministères de la Défense et de la diplomatie des 2 pays, selon la presse soudanaise.
L'ouverture d'une ambassade soudanaise à Bamako est prévue.
AESNEWS
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Le Président de la Transition du #Mali 🇲🇱, le Colonel Goita Assimi, a remis un “important” lot de groupes électrogènes à la société Énergie du #Mali.
Selon la Présidence de la République, cette remise rentre dans le cadre de ses “Œuvres Sociales”.
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#AESinfo | #BurkinaFaso 🇧🇫
Une tempête dans un verre d'eau orchestrée par des activistes et trolls ivoiriens et français
Un réseau d'activistes et de trolls ivoiriens et français, coutumiers des manipulations et des contre-vérités et visiblement animés par une russophobie aigüe, ont tenté de saboter la visite du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, au Burkina Faso.
Leur arme ? Une vidéo manipulée, sortie de son contexte, et présentant le président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, saluant ses hôtes russes. En focalisant sur un bref instant où le président semble pencher la tête, les points en avant, ces individus malintentionnés ont voulu faire croire à un signe de "soumission" et de vassalité envers la Russie.
Mais la réalité est tout autre. La vidéo complète, facilement accessible, montre clairement que le geste du président Traoré n'a rien d'anormal. Il s'agit d'un simple salut protocolaire, comme il en existe des milliers dans le monde diplomatique.
Derrière cette manipulation grossière se cachent des acteurs bien connus Alain "Lecon-gnon", pardon Lobognon, ancien ministre ivoirien et milicien durant la crise de 2002, et LSI Africa, un média de propagande français à la réputation douteuse, tirent les ficelles de cette opération de désinformation.
Leur objectif est clair : nuire au Burkina Faso et semer la discorde entre le pays et ses partenaires. Ils ne supportent pas l'idée que le Burkina Faso s'affranchisse de son passé colonial français et noue des partenariats stratégiques avec d'autres puissances, comme la Russie.
Cette manipulation grossière de la vidéo de la visite de Sergueï Lavrov illustre la panique des partisans de l'ancien ordre colonial face à l'émancipation du Burkina Faso. Loin de se laisser intimider, le peuple burkinabè continuera à tracer son propre chemin, en toute liberté et souveraineté.
Aboubacar Ouedraogo - AESinfo
AESNEWS
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#AESinfo | #BurkinaFaso 🇧🇫
Plus de 600 Milliards FCFA Investis dans la Sécurité en 2023, la Transition Tournée vers d'Autres Priorités
Le gouvernement burkinabè a consacré plus de 600 milliards de FCFA en 2023 à l'acquisition d'équipements militaires, en vue de renforcer la lutte contre le terrorisme et de restaurer l'intégrité du territoire national. C'est ce qu'a révélé le ministre de l'Economie, Aboubakar Nakanabo, dans la nuit du mercredi 5 au jeudi 6 juin 2024 sur la Radiodiffusion Télévision du Burkina (RTB).
"Près d'un milliard de dollars, soit plus de 600 milliards de FCFA, ont été investis en 2023 pour l'acquisition de matériels militaires", a précisé le ministre Nakanabo. Il a ajouté que cette dotation importante a permis d'équiper conséquemment les forces armées nationales, leur donnant ainsi les moyens nécessaires pour faire face aux défis sécuritaires.
Tout en soulignant l'importance de la sécurité dans le développement du pays, le ministre Nakanabo a indiqué qu'avec l'acquisition de ces équipements militaires, la transition burkinabè va "progressivement" orienter les investissements vers d'autres secteurs prioritaires tels que l'éducation, la santé et les infrastructures.
Dans cette optique, il a annoncé qu'un montant de plus de 56 milliards de FCFA a déjà été décaissé en mai 2024 pour le remboursement d'une partie de la dette intérieure.
Ces actions fortes du gouvernement de transition témoignent de sa volonté de s'attaquer résolument aux défis multiformes auxquels le Burkina Faso est confronté, en privilégiant d'abord la sécurité pour ensuite créer les conditions d'un développement économique et social durable.
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#AESinfo | #Niger 🇳🇪 ⚡️ 🇧🇯 #Benin
TENSION MONTÉE ET DÉTENTE RAPIDE, LES CINQ NIGÉRIENS RETROUVÉS SAINS ET SAUFS !
Un incident diplomatique de courte durée a failli dégénérer entre le Niger et le Bénin ce mercredi 5 juin 2024. La Directrice Générale Adjointe de la West African Pipeline Company (WAPCO), Mme Moumouni Ibra Hadiza, et quatre experts nigériens l'accompagnant pour superviser le chargement d'un pétrolier, ont été arrêtés par la police béninoise au port de Cotonou.
Selon des sources proches du dossier, les forces de l'ordre béninoises ont saisi leurs téléphones et les ont conduits vers une destination inconnue, sans aucune communication officielle. Cette situation a suscité une vive inquiétude du côté nigérien, poussant les autorités à s'activer pour obtenir des éclaircissements.
Heureusement, la tension a été rapidement désamorcée. Les cinq représentants nigériens ont été retrouvés sains et saufs quelques heures plus tard. L'ambassadeur du Niger a confirmé avoir été en contact avec les autorités locales pour comprendre les circonstances de cet événement inattendu.
Si les détails de cet incident restent flous, il met en lumière les tensions entre les deux pays voisins qui suscitent de vives inquiétudes quant à l'évolution de la situation et aux potentielles répercussions sur les relations bilatérales.
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